mercredi, juin 22

Droit de réponse


Je veux bien, quand c’est constructif.


Tout ce qui détruit mon raisonnement n’est PAS constructif.

Tout ce qui démolit l’idée « géniale » que j’ai laissé fermenter pendant des années (quand il s’agit d’un principe) ou une nuit (quand il s’agit de ruminer) ou une minute (quand il s’agit d’un éclair de lucidité) est forcément non productif.


A quoi sert le droit de réponse ? À exercer sa liberté de parler !?

Sauf qu’en interne, je ne suis pas en démocratie, la Tunisie s’est libérée mais je n’ai pas livré mes otages.


Ce sont forcément mes racines Saoudiennes : J’interdis le désaccord, les manifestations et le droit de réponse, par fatwas interposés.


Je déconseille fortement les autres de suivre mon exemple, vu que finalement, tu parles en dernier, et tout le monde est rouge parce leurs mots restent prisonniers. Tu as le regard en mitraillette, toujours, et en plus, on te prend pour une excentrique, une têtue et une intolérante, ce qui est totalement FAUX !


Le droit de réponse est inutile, parce que l’important c’est de poser la question, d’y répondre une fois et d’arrêter les frais.


J’ai essayé parfois, tant bien que mal, de soutenir un Squash de mots, sur une question épineuse de vie ou de mort : résultat des courses ? J’en suis sortie lessivée, avec un ami en moins (temporairement soit dit en passant, il avait le pardon facile et moi aussi).


Et ils osent dire que le dialogue favorise l’entente, mon œil !

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